Revues scientifiques internationales à comité de lecture Revues scientifiques nationales à comité de lecture
Contributions dans des ouvrages scientifiques internationaux Contributions dans des ouvrages scientifiques nationaux
2023 - Charlotte Rampling made in Francepostnational: From a National to a Postnational Identity
Postnational Frenchness in Mainstream Cinema and Television, Mary Harrod and Raphaëlle Moine (Eds.), Palgrave, à paraître.
2022 - Trouble dans l'interprétation: Margaret Thatcher, Meryl Streep, la réception et le biopic
Cahiers d’Artes, « L’art d’interpréter l’art », n°18, Pierre Sauvanet (Dir.), Presses Universitaires de Bordeaux, p. 221-236.
2022 - Michèle Morgan and Henri Vidal as star couple (1949-1959): an unusual case of gender and class imbalance
French Screen Studies, Volume 22, Issue 2-3 Special Issue on Michèle Morgan: Stardom and Popular Cinephilia, p. 153-173.
2020 - Quand Cendrillon n'a plus vingt ans: Jeanne Moreau magnifiée en monstre sacré par l'oeil patrimonial de Josée Dayan
Cenerentola e Pigmalione, Chiara Tognolotti (dir.), éditions ETS, Pise, 2020, p. 175-186.
2020 - Représenter l'intime au cinéma à l'heure du vieillissement : Charlotte Rampling entre convention et transgression
L’Intime de l’Antiquité à nos jours, Géraldine Puccini (dir.), Bordeaux, Presses Universitaires de Bordeaux, 2020, p. 251-260.
2020 - Les Derniers rendez-vous de D.D. La star, le vieillissement et la capacité d'agir
2020 - Danielle Darrieux ou la traversée d'un siècle
2019 - note de lecture longue sur Fade to Gray: Aging in American Cinema
2017 - L'actrice, la star et l'icône: Catherine Deneuve face au vieillissement
2017 - Les stars et le temps du vieillissement
2017 - Vieux pot et nouvelles jeunes poules? Stars féminines vieillissantes et sexualité dans le cinéma français contemporain: une mise en perspective
Théorème, "Représentations-Limites des corps sexuels dans le cinéma et l'audiovisuel contemporains", Antoine Gaudin, Martin Goutte & Barbara Laborde (dir.), Paris, Presses de la Sorbonne Nouvelle, décembre 2017, p. 109-118.
sommaire: http://psn.univ-paris3.fr/sites/default/files/public/sommaire/tm_theoreme_28.pdf |
2016 - Guest stars : de la stratégie has been au second souffle des stars de cinéma
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Décadrages. Cinéma à travers champs, n°32-33, printemps 2016, Dossier Séries télévisées contemporaines, Mireille Berton et Sylvain Portmann (dir.), p. 108-127.
Il y a toujours eu des échanges entre le cinéma et la télévision depuis les années 1950 et 1960, mais depuis le tournant des années 2000, on constate des transferts plus fréquents d’acteurs de cinéma sous la forme de guest star, c’est-à-dire d’invité dans un, ou parfois plusieurs épisodes d’une série télévisée, ce qui est une tradition principalement américaine jusqu’à présent. Ce phénomène s’est institutionnalisé au tournant des années 1990, avec la création en 1989 aux Emmy Awards d’une nouvelle catégorie « best guest », déclinée entre acteur et actrice et comédie et dramatique. L’emploi de guest star, de plus en plus dévolu aux stars de cinéma vieillissantes – sans forcément les rendre has been puisque certaines deviennent des héroïnes centrales de séries suite au succès d’un rôle de guest star (Jeremy Irons, Glenn Close, Kathy Bates) –, leur permet d’agir en « reaction-shots » à leur image publique (Catherine Deneuve dans Nip Tuck) ou cinématographique (Julia Roberts dans New York District ou Robin Williams dans New York unité spéciale), qui leur offre souvent moins de visibilité et moins de liberté pour renouveler leur carrière. Le passage par la case guest star peut donc être une phase d’évaluation à un âge charnière entre deux emplois, deux registres, pour négocier un transfert dépassant le rôle d’invité d’une star de cinéma vers la télévision. Cependant, si le bénéfice est évident dans certains cas tant pour les séries que pour les stars, on pourra s’interroger sur les limites du phénomène de guest star qui s’étend à tout type de célébrité au point d’être un marronnier à la télévision, reposant souvent sur du name dropping masquant les faiblesses scénaristiques d’une série, devenue véhicule marketing pour star en manque d’audience. |
2015 - notice "Simone Signoret"
Le Maitron : Dictionnaire biographique : mouvement ouvrier, mouvement social, de 1940 à mai 1968, Volume 11, Men-Pen, Ivry-sur-Seine, Éditions de l’Atelier, novembre 2015.
2015 - Genèse de la théorisation de la notion de star dans la France d'après-guerre
Gwénaëlle Le Gras et Geneviève Sellier (dir.), Cinémas et cinéphilies populaires dans la France d’après-guerre 1945-1958, Paris, Nouveau Monde éditions, juillet 2015, p. 81-100. C’est au cours de l’après-guerre en France, période de plus haute fréquentation des salles, que les discours savants et populaires sur le vedettariat et les stars vont se développer. Les stars sont parties prenantes de la société de consommation et de communication de masse qui s’impose en France dans les années 1950 et qui va exercer une grande influence sur la nouvelle génération, en lui fournissant héros et modèles. En 1957, Roland Barthes publie Mythologies, et Edgar Morin Les Stars, paradoxalement resté longtemps sans suite en France, pour des raisons liées aux changements culturels et idéologiques qui s’amorcent à cette époque.. En parallèle, la cinéphilie populaire propose, via les magazines qui se multiplient après-guerre, des discours qui dessinent en creux une réflexion sur ce phénomène social et cinématographique. Cinémonde, magazine populaire le plus largement diffusé à cette époque, s’intéresse à ce sujet. Cet article propose d’analyser la genèse de la théorisation de la notion de star dans la France d’après-guerre en confrontant les discours savants et populaires, mesurer les écarts et les points de convergences entre les deux, et repérer les spécificités de la conception française du vedettariat. |
2015 - Cinémas et cinéphilies populaires dans la France d’après-guerre 1945-1958
2015 - "France’s ‘New Don Juan’ : The Representation of Alain Delon’s Youth"
2015 – "Les Victoires du cinéma français :
une entreprise d’institutionnalisation orchestrée par Le Film français"
Théorème, "Le film français (1945-1958) : rôles, fonctions et identités d'une revue corporative", Laurent Creton, Kira Kitsopanidou & Thomas Pillard (dir.), Paris, Presses de la Sorbonne Nouvelle, mai 2015, p. 117-127. (ANR CINEPOP50)
En 1947, dans un contexte de reconquête du statut culturel et économique international de la France, le « Consortium de Presse Cinématographique » dont Le Film français et Cinémonde sont les publications phares, organise un double référendum sur la production cinématographique française et étrangère projetée en France depuis la Libération. Cet évènement unit les directeurs de cinéma (plus de 90% de tous les exploitants de France et d’Afrique du Nord) et le public « pour la première fois dans le monde ». Sont ainsi crées les Victoires, du nom des moulages en bronze de la Victoire de Samothrace remis aux lauréats du Grand prix des directeurs de cinéma (organisé par Le Film français) et du Grand prix du public (organisé par Cinémonde), qui se veulent l’« équivalent à ce que sont à Hollywood les célèbres Oscars de l’Académie des Arts et Sciences Cinématographiques ». Nous verrons comment Le Film français, en connivence avec Cinémonde, va faire de ces récompenses, et de la qualité qu’elles récompensent, un enjeu culturel, politique et économique majeur, contribuant à institutionnaliser et singulariser le cinéma français. |
2015 – "Edwige Feuillère dans le star-système français des années d’après-guerre vu par Cinémonde"
Studies in French Cinema, Geneviève Sellier (dir.), Intellect Press, vol. 15, n° 1, mars 2015, p 37-55. (ANR CINEPOP50)
La construction de la présence d’Edwige Feuillère dans Cinémonde dans le star-système français des années d’après-guerre est atypique. En effet, l’attachement de Cinémonde pour Feuillère ne peut s’expliquer par sa présence relativement modeste au box-office, en regard aux autres stars féminines prisées. Cependant, on peut faire l’hypothèse, qu’elle personnifie un cinéma de qualité et une maîtrise de l’actorat considérés alors comme le summum du cinéma français, que le magazine souhaite promouvoir parallèlement aux vedettes éphémères de l’époque. |
2015 – " The Post-war French Star System (1945-1958):
Prestigious Vedettes and Box-Office Stars "
Contemporary French and Francophone Studies: SITES, Gwénaëlle Le Gras et Geneviève Sellier (dir.), Routledge/Taylor & Francis, Volume 19, Issue 1, janvier 2015, pp. 6-28. (ANR CINEPOP50) During the postwar period since the New Wave (1945-1958), popular weeklies propose several stars classifications depending more or less to the box office. For an actor, "I am on the box office, therefore I exist" is not necessarily the rule. The public made actors famous, or can throw them into oblivion, but that success is not necessarily, or not only made by the box office. Popular magazines should also been taken into account. Actors play several roles: audiences loved them for there image, for what they embody beyond the screen and for what they play. Indeed, it will not be unusual to see in Cinémonde clashes between the taste of readers, while a least partly expressed in the letters to the editor section "Potinons" and taste of the editors, which biases are reflected in the sections "Tout Cinémonde" and "celebrity matches"; it draws a panorama of popular tastes, mainly for quality cinema. This article will therefore endeavor to identify the criteria of these rankings. |
2015 – "Major Stars, the Heritage Film, and Patrimonial Values in Contemporary French Cinema"
2014 - "Bourvil ou les enjeux socioculturels du comique paysan d'après-guerre"
Humoresques, n°40.
À l’heure où De Funès est réhabilité par la presse cinéphilique qui le décria jadis, Bourvil reste relativement plongé dans l’oubli, particulièrement sur sa première partie de carrière. Et pourtant, il connut un vif succès dès ses premiers rôles, tenant la dragée haute à Fernandel au box-office du cinéma français, avant que Don Camillo ne fasse son entrée en 1952. Or de 1947, année de son premier film Pas si bête (A. Berthomieu) à 1952, avec Le Trou Normand (J. Boyer), Bourvil va transposer au cinéma son personnage de comique paysan qu’il mit au point dans les cabarets dès 1943 et le fit émerger en vedette à la radio, au moment de la Libération. À cette époque, la société est alors en quête de repères, face à la modernisation qui s’accompagne de la disparition progressive de la société traditionnelle et d’une accélération de l’Histoire pour la France encore pour moitié rurale qui connaît des mutations radicales et un retrait du monde des petits paysans. Or c’est au cours de cette période que Bourvil va rencontrer et fédérer un large public populaire dans le registre du comique paysan qui lui permet d’explorer les tensions qui traversent la société. Véritable François Pignon paysan de l’époque, Bourvil semble constamment déplacé dans ces films, au propre et au figuré, parce qu’il transporte avec lui toute sa campagne qu’il confronte à la modernité incarnée par les classes sociales urbaines et supérieures dont il ignore les convenances et les usages. Bourvil porte les valeurs du populisme en défendant celles de la France profonde, valorisées par un comique de contraste qui fonctionne à double sens, favorisant ainsi une négociation des mutations sociales en cours (modernisation, développement des loisirs, « américanisation »), apaisées par le savoir rire de soi qu’offre Bourvil à tout un chacun. Le langage rustique et l’air benêt lui servent de masque pour révéler les supercheries des classes supérieures et tordre le cou au cliché de la rusticité ignorante. En étant à la lisière de deux espaces sociaux perçus comme inconciliables, Bourvil joue et jouit d’une position de bouffon, c’est-à-dire de révélateur, de miroir grotesque, qui dans ce film est plus proche de l’Arlequin de Marivaux, censeur de la haute société dépravée qui s’affirme comme voix de la raison. Sa naïveté devient une arme critique. Même si Bourvil incarne durant cette période des personnages sans mystère, sa force comique possède une duplicité, qui loin de la rébellion ou de la soumission monocorde, se situe au contraire dans cette tension entre le plein gré et le malgré soi de son rapport à sa classe sociale, tension où se noue toute la subtilité de son image et du type de masculinité qu’il incarne, étroitement liée à sa position de dominé. Nous nous proposons donc d’étudier l’ambivalence subversive et normative du comique paysan de Bourvil.
2014 – "Bourvil ou le tempo rubato paysan d’immédiat après-guerre"
Théorème 20, "Voyez comme on chante ! Films musicaux et cinéphilies populaires en France (1945-1958)", Layerle Sébastien et Moine Raphaëlle (dir.), Paris, Presses de la Sorbonne Nouvelle, novembre 2014, pp. 67-74. (ANR CINEPOP50)
De 1947 à 1952 Bourvil transpose au cinéma son personnage de comique paysan chantant qu’il mit au point dans les cabarets et à la radio. Bourvil fédère un large public en quête de repères en facilitant la domestication de la modernisation par la reprise à l’écran de chansons adoptant des rythmes entrainants, aptes à… franchir le pas, sans perdre ses racines. Car Bourvil se définit par une musicalité qui lui est propre. Souple, variable, adaptable, le tempo rubato assigne au rythme une allure hésitante entre l’élan dansant et une sorte de pudeur à s’y livrer qui caractérise bien le jeu de Bourvil et sa flexibilité, même temporaire, sur l’échiquier social en mutation. |
2013 - notice "Yves Montand"
Le Maitron : Dictionnaire biographique : mouvement ouvrier, mouvement social, de 1940 à mai 1968, Volume 9, Men-Pen, Ivry-sur-Seine, Éditions de l’Atelier, novembre 2013.
2012 - notices "Mise en abyme" et "Pygmalion"
Dictionnaire critique de l'acteur, Théâtre et cinéma, Vincent Amiel, Gérard-Denis Farcy, Sophie Lucet et Geneviève Sellier (dir.), Presses Universitaires de Rennes, novembre 2012.
Avec plus de 200 entrées rédigées par les meilleurs spécialistes, ce dictionnaire présente l’acteur dans ses composantes internes (la voix, le corps), dans ses interfaces (direction d’acteur, interprétation) et en tenant compte aussi de tout ce qui l’affecte, l’informe ou le déforme (la profession, les institutions, la mémoire culturelle, la société). Il réunit le théâtre et le cinéma et multiplie les approches – des plus récentes (les Gender Studies) aux plus classiques (l’esthétique, l’analyse dramaturgique), des plus sophistiquées aux plus empiriques. Avec une préface de Daniel Mesguich. |
2012 - "Les enquêtrices dans le film policier français des années 1970 et 1980 :
des femmes qui en savaient trop?"
CINéMAS, "GENRE / GENDER", Raphaëlle Moine et Geneviève Sellier (dir.), vol. 22, no 2-3, juillet 2012, pp. 35-60.
2012 - "Edwige Feuillère, escroc mondaine entre deux genres"
Genres et acteurs du cinéma français 1930-1960, Gwénaëlle Le Gras et Delphine Chedaleux (dir.), Presses Universitaires de Rennes, février 2012, pp. 173-187.
2012 - "Introduction : le cinéma français en substance (1930-1960)"
co-écrit avec Delphine Chedaleux, Genres et acteurs du cinéma français 1930-1960, Gwénaëlle Le Gras et Delphine Chedaleux (dir.), Presses Universitaires de Rennes, février 2012, pp. 11-18.
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2011 - "Martine au cirque, Martine au bûcher ou le point aveugle de l'affaire Lola Montès"
Lola Montès: lectures croisées, Marguerite Chabrol et Pierre-Olivier Toulza (dir.), L'Harmattan, décembre 2011, pp. 141-170.
2011- "L'approche gender pour une relecture du cinéma populaire français classique"
Les images en questions, cinéma, télévision, nouvelles images: les voies de la recherche, Pierre Beylot, Isabelle Le Corff et Michel Marie (dir.), Presses Universitaires de Bordeaux, mars 2011, pp. 381-390.
2010 - « Annie Girardot de la Comédie-Française au film
policier des années 50,
ou le brouillage des stéréotypes du genre »
Studies in French Cinema, numéro spécial dixième anniversaire de la
revue, vol 10, n°3, pp.235-250.
2009 - « Annie
Girardot, une enquêtrice aux prises avec le cinéma policier/criminel français
des années 70-80 »
Policiers et
criminels, un genre populaire européen sur grands et petits écrans, Raphaëlle Moine, Brigitte
Rollet et
Geneviève Sellier (dir.), L’Harmattan,
avril 2009, pp. 157-166.
2009 - « Le “patrimoine” Deneuve d’une
chaîne télévisée (TF1) à l’autre (Arte) »
Les Fictions patrimoniales sur grand et petit écrans : contours et
enjeux d’un genre intermédiatique, Pierre Beylot et Raphaëlle Moine (dir.), Presses Universitaires de Bordeaux,
octobre 2009, pp. 139-152.
2009 - « “Coupable altérité” : Stroheim dans les films criminels français des années 30 »
Double jeu
(revue du Centre de Recherche et de Documentation des Arts du Spectacle,
Université de Caen), n° 5, « Les Représentations de l’Autre au
théâtre et au cinéma (XIXème, XXème siècle), Chantal
Meyer-Plantureux et Geneviève Sellier (dir.),
Presses Universitaires de Caen, mai 2009, pp. 81-96.
2008 - « Le Paradoxe de 8
femmes (Ozon, 2002) : l’exagération de la théâtralité au profit
du
fétichisme cinématographique des actrices. »
La
Double présence de l’acteur : cinéma/théâtre, sous la direction de Yannis Leontaris, Christina Adamou, Éditions
Kastaniotis, août 2008, pp. 325-335. (publication en grec)
2007 - « L'Ambivalence de Catherine Deneuve au service du Dernier Métro (Truffaut, 1980).
Perception, recomposition et utilisation de sa persona. »
L’Acteur de cinéma : approches
plurielles, Vincent Amiel, Jacqueline Nacache, Geneviève
Sellier et Christian Viviani (dir.), collection Le Spectaculaire, Presses universitaires de
Rennes, 2ème semestre 2007, pp. 205-216.
2007 - « Belle de Jour ou les origines d’une
star »
Les Cahiers de la MRSH, numéro spécial
Jeunes chercheurs en Sciences humaines et sociales II, Claude Guimier (dir.), Presses Universitaires de
Caen, décembre 2007, pp. 115-128.
2007 - « Remise en
cause et mutation de l’idéal féminin dans le cinéma français des années 70.
Catherine Deneuve dans Touche pas à la femme blanche (Marco Ferreri, 1974) »
La Fiction éclatée, Petits et grands écrans
français et francophones, volume 1 : études socioculturelles, Jean-Pierre Bertin-Maghit et Geneviève Sellier (dir.), collection Les Médias en actes, éditions
Ina-L’Harmattan, avril 2007, pp. 303-313.
2006 -
« Analyse filmique et gender
studies :
vers une autre approche des Parapluies de Cherbourg (Demy,
1964) »
L’Analyse des films en
question, espaces, gestes, perspectives, Jacqueline
Nacache (dir.), collection "Champs
Visuels" chez L'Harmattan, mai 2006, pp. 203-221.
2006 - « Michel Simon chez Sacha Guitry : la figure du double
idéal »
Double jeu
(revue du Centre de Recherche et de Documentation des Arts du Spectacle,
Université de Caen), n° 3, Guitry et les acteurs, Vincent Amiel et Noël Herpe (dir.), Presses Universitaires de Caen, juin 2006,
pp. 85-96.
2006 - « Les “Co-créations” cinématographiques de Michel Simon, ou l’essence de cette “tête de l’art” »
Positif,
n° 543, mai 2006, pp. 74-79.
2005 - « Résurgence de la comédie à la française. Les apports de
Catherine Deneuve au genre
dans Le Sauvage (Rappeneau, 1975) et L’Africain
(de Broca, 1983). »
Le
Cinéma français face aux genres, Raphaëlle Moine (dir.), édité par l'AFRHC,
avril 2005, pp. 265-273.
2005 - « Soft and hard : Catherine Deneuve in 1970 »
Studies in French Cinema, premier semestre 2005, vol 5 n° 1, pp. 27-35.
2003 - « Catherine Deneuve star et/ou auteur de
Drôle d’endroit pour une
rencontre (Dupeyron, 1988) et Indochine (Wargnier, 1991) »
Double jeu (revue du Centre de Recherche et de Documentation des Arts du Spectacle, Université de Caen), n° 1, L’Acteur créateur, Sophie Lucet et Jean-Louis Libois (dir.), Presses Universitaires de Caen, novembre 2003, pp. 143-153.
2003 - "Réflexion sur la représentation du sacré dans Sous le soleil de Satan (Pialat, 1987)"
parution en ligne